Les 12 secrets que les pros en finance ne nous disent pas 👛
Temps de lecture : 10 mins - Un titre bullshit pas un contenu qui ne l'est pas
Salut toi 👋🏻
Que tu sois là depuis le début ou que tu viennes d’arriver, merci pour ton soutien. 🫶🏻
→ La semaine dernière, on a vu comment l’adoption (massive) de Bitcoin par les institutions mondiales et entreprises le rend incontournable aujourd’hui.
Aujourd’hui
→ Les 12 secrets que les pros en finance ne nous disent pas👀
Ils ont soutenu cette édition
→ Mon petit placement. 👛
Et s’il n’y avait jamais de “bon moment” pour investir ?
Lucas, 34 ans, ingénieur en freelance, repoussait toujours le moment de se lancer dans l’investissement.
Il se disait qu’il investirait plus tard, quand il aurait un peu plus d’épargne, un peu plus de visibilité sur ses projets… Bref, quand tout serait “aligné”. En attendant, il laissait son argent sur son Livret A.
Il savait que ce n’était pas idéal, mais se disait qu’il ferait mieux plus tard.
Mais plus les mois passaient, plus une réalité s’imposait à lui : le moment parfait n’existe pas.
Et pendant ce temps, son épargne perdait doucement de la valeur à cause de l’inflation.
Jusqu’à ce qu’un ami lui parle de Mon Petit Placement, une FinTech lyonnaise qui propose d’investir dès 300€, sans se prendre la tête. Une interface claire, des conseils humains, des solutions pour tous les profils. Et surtout, la possibilité de se lancer progressivement, à son rythme.
✅ Lucas a investi 300€ sur le portefeuille Ambitieux (8,5% net* en 2024).
✅ Puis il a automatisé ses versements à 50€/mois – un petit pas, mais régulier.
✅ Résultat ? Moins d’un an plus tard, il a déjà constitué une épargne dynamique qu’il prévoit d’utiliser pour financer un voyage**.**
Ce qu’il a compris ? Ce n’est pas le montant de départ qui compte. C’est la régularité, la confiance… et le bon partenaire.
Avec Mon Petit Placement, vous pouvez investir sans attendre :
💚 Accessible dès 300€, sans engagement.
💚 Une tarification unique : leurs intérêts sont alignés aux vôtres.
💚 Un accompagnement par des experts, quel que soit votre niveau de revenus ou de connaissance.
Et si vous profitiez d’une offre exclusive ? Avec La Finance Sans Migraine, bénéficiez de 80€ offerts à l’ouverture de votre compte avec le code LFSM80 jusqu’au 30 avril 2025**.
Finalement, le meilleur moment pour commencer, c’est maintenant.
*Investir comporte des risques de perte en capital.
*Performance nette de frais de gestion (hors commission de performance Mon Petit Placement), calculé entre le 01/01/2024 et le 31/12/2024, à partir des données Quantalys sur la base des portefeuilles modèles de Mon Petit Placement.
**80€ offerts pour toute 1ère souscription d'un contrat Mon Petit Placement entre le 07/04/2025 et le 30/04/2025. La prime de 80€ sera versée le mois suivant l'ouverture du contrat et à l’issue du délai de renonciation, directement sur votre compte bancaire. Le contrat ouvert dans le cadre de l'offre devra être conservé pendant au moins un an. À défaut, Mon Petit Placement, même si ce dernier est à l'initiative de la clôture du compte, se réserve le droit de prélever le montant correspondant à la prime versée sur ledit compte. Offre réservée aux personnes physiques, agissant pour leurs besoins non professionnels exclusivement.
Voici une liste que j’ai créée petit à petit, en m’inspirant de mes investissements et des questions qui m’ont traversé l’esprit. 🫶🏻
🔸 1) Les dividendes ne garantissent pas la performance à long terme
Ce que les pros savent
Les dividendes élevés peuvent avoir un côté séduisant, mais attention, ils ne sont pas toujours un signe de bonne santé d’une entreprise. 💊
Parfois, quand une société verse beaucoup à ses actionnaires, ça peut indiquer qu’elle n’a pas beaucoup d’opportunités pour investir ou grandir. Et parfois, c’est même une manière de cacher des problèmes plus profonds.
Ce qu’il faut comprendre
Toucher des dividendes, c'est sympa, mais ça veut aussi dire que l'entreprise ne réinvestit pas cet argent pour se développer. Certaines boîtes, comme Amazon qui ne verse toujours pas de dividendes, préfèrent booster leur croissance, leur innovation et miser sur une valeur à long terme.
Du coup, c'est super important de jeter un œil à la stratégie de l'entreprise avant de se laisser ‘charmer’ par les rendements des dividendes.
Pourquoi ce n’est pas dit
Les dividendes, c'est un peu la star pour les investisseurs parce qu'ils apportent un revenu bien concret. Du coup, pas mal d'acteurs du marché aiment bien mettre en avant ce côté séduisant, plutôt que de parler des compromis que ça peut impliquer.
📚 Consulter l’édition : Les dividendes : kézako ?
-
🔸 2) Les baisses de marché sont des opportunités, pas des catastrophes
Ce que les pros savent
Les corrections de marché, c'est quand les prix des actions baissent temporairement, et ça peut être le moment idéal pour acheter des actions de qualité à moindre coût.
Quand le marché plonge, beaucoup d'investisseurs paniquent et vendent en masse, ce qui ouvre des portes à ceux qui restent calmes et saisissent ces opportunités (et achètent moins chers).
Ce qu’il faut comprendre
Une entreprise ne perd pas sa solidité du jour au lendemain juste parce que son cours de bourse dégringole. 📉
Au contraire, une baisse soudaine peut être une belle occasion pour un investisseur qui pense sur le long terme. Souvent, les plus belles réussites en bourse arrivent quand on achète alors que tout le monde vend.
Pourquoi ce n’est pas dit
Les médias ont tendance à jouer sur la peur en dramatisant l'impact des crises boursières. Ils savent qu'une chute spectaculaire des marchés attire + de spectateurs qu'une analyse posée des opportunités que ces moments peuvent présenter.
-
🔸 3) La majorité des gains proviennent de quelques actions exceptionnelles
Ce que les pros savent
Toutes les actions ne sont pas égales : une petite poignée d'entre elles fait vraiment la différence dans la performance d'un portefeuille à long terme. C'est pour ça que les investisseurs pros sont toujours à l'affût des entreprises qui ont le potentiel de croître de façon exponentielle.
Ce qu’il faut comprendre
Diversifier, c'est important, surtout pour les débutants, car ça réduit les risques. Mais attention, si tu diversifes trop, tes performances pourraient se diluer. L'idéal, c'est de trouver et de garder ces entreprises exceptionnelles qui peuvent transformer un petit investissement en un bon succès.
(Ici je parle d’actions individuelles qui sont pour moi, à associer avec des ETFs dans un portefeuille).
Pourquoi ce n’est pas dit
On entend souvent dire que diversifier ses investissements est une règle d'or, (et c’est vrai) mais on oublie parfois de mentionner que trop diversifier peut aussi limiter tes gains.
-
🔸 4) Les actions sont influencées par les grandes institutions
Ce que les pros savent
Les grandes banques, les fonds d'investissement, et les hedge funds ont d'énormes ressources qu'ils utilisent pour influencer les marchés. Leurs énormes transactions peuvent provoquer des fluctuations de prix qui paraissent aléatoires aux investisseurs individuels, mais qui, en réalité, sont le résultat de stratégies qui sont bien définies.
Un hedge fund (fonds spéculatif en français), c'est un type de fonds d'investissement qui opère avec plus de liberté que les fonds traditionnels et en utilisant des méthodes plus risquées, plus techniques pour obtenir des rendements élevés pour leurs investisseurs (les options, futures, effet de levier, etc).
Ce qu’il faut comprendre
Une forte hausse ou baisse du cours d'une action n'est pas forcément due aux performances réelles de l'entreprise. Parfois, ça peut simplement refléter un ajustement de portefeuille d'un grand fonds ou même une manipulation des flux de marché.
Pourquoi ce n’est pas dit
Reconnaître ces pratiques remettrait en question l’idée d’un marché entièrement "libre" et transparent, ce qui nuirait à la confiance des investisseurs particuliers.
🧰 Il existe des outils pour voir ces gros mouvements de la part des grandes institutions, banques, hedge fund, etc : WhaleWidsom, MarketChamaleon, GuruFocus, Finviz.
-
🔸 5) L’analyse technique est un outil, pas une science exacte
Ce que les pros savent
Les professionnels se servent de l'analyse technique, mais ils reconnaissent qu'elle n'est pas suffisante à elle seule. Cette méthode aide à repérer des tendances et des niveaux importants, mais elle ne peut pas prédire avec certitude la future direction d'un actif.
L'analyse technique, c'est l'étude des mouvements de prix d'un marché au travers de graphiques, principalement pour prévoir les tendances futures.
Elle se base sur l'idée que les prix des actifs suivent souvent des motifs répétitifs.
Ce qu’il faut comprendre
Se fier uniquement à un graphique pour investir n'est pas suffisant pour prendre une décision éclairée. Une méthode bien équilibrée combine l'analyse technique avec l'analyse fondamentale pour vraiment évaluer la valeur réelle d'une entreprise. 🫱🏻🫲🏼
L'analyse fondamentale évalue la valeur intrinsèque d'une entreprise en examinant ses données financières, comme les bilans et les comptes de résultats, ainsi que son environnement économique et sa position sur le marché.
Cette méthode aide à déterminer si le prix actuel de l'action est juste, en se basant sur les performances et les perspectives futures de l'entreprise.
Pourquoi ce n’est pas dit
Beaucoup de formations et de stratégies de trading simplistes sont basées uniquement sur l’analyse technique, car elle est facile à vendre aux débutants.
📌 Les ETFs "Value" (sélection d’actions sous-évaluées selon leurs fondamentaux) utilisent des ratios fondamentaux pour choisir leurs actions.
-
🔸 6) Les marchés ne sont pas toujours rationnels
Ce que les pros savent
Les marchés sont souvent affectés par des facteurs irrationnels comme les émotions, les rumeurs, les mouvements de mouton de groupe. Le cours d'une entreprise peut tout à fait s'effondrer brusquement sans raison fondamentale ou rationnel, juste à cause d'un mouvement de panique généralisé.
Ce phénomène peut être expliqué par la théorie des "esprits animaux" de John Maynard Keynes, qui souligne comment des impulsions irrationnelles influencent les décisions économiques.
Selon lui, des forces émotionnelles telles que l'optimisme ou le pessimisme jouent un rôle crucial dans les comportements d'investissement, menant souvent à des bulles spéculatives ou des crash. Comprendre ces comportements irrationnels est essentiel pour analyser les mouvements de marché et élaborer des politiques économiques efficaces.
Ce qu’il faut comprendre
Ne cherche pas toujours une explication logique aux variations des cours. Parfois, ce sont des réactions excessives du marché qui créent des opportunités d’achat ou de vente. 🧠
Pourquoi ce n’est pas dit
On entretient l’illusion que les marchés sont toujours guidés par des analyses rationnelles, alors qu’ils réagissent souvent de manière émotionnelle.
-
🔸 7) Les investisseurs institutionnels ont un avantage structurel
Ce que les pros savent
Les grands fonds ont accès à des informations, des analyses et des outils que les investisseurs individuels n’ont pas. Ils disposent d’équipes d’analystes, de relations privilégiées avec les entreprises et d’algorithmes ultra-performants.
Ce qu’il faut comprendre
L’investisseur particulier ne joue pas sur un pied d’égalité avec ces acteurs. Ça ne signifie pas qu’il ne peut pas réussir, mais il doit adapter sa stratégie en conséquence.
Pourquoi ce n’est pas dit
Si tout le monde prenait conscience de ces inégalités, la confiance dans les marchés financiers pourrait en être affectée.
-
🔸 8) Les frais cachés grignotent les performances
Ce que les pros savent
Les frais de gestion, de transaction et autres coûts (invisibles) peuvent peser lourdement sur la rentabilité d’un portefeuille à long terme.
Ce qu’il faut comprendre
Un rendement de 7 % par an peut sembler attractif, mais si des frais de 2 % sont prélevés chaque année, ça réduit considérablement la performance, surtout à long terme.
Pourquoi ce n’est pas dit
Les sociétés de gestion vivent de ces frais, et c’est dans leur intérêt de minimiser leur importance dans leur communication. Ou de rendre ça opaque.
Exemple :
Tu investis 10 000 euros dans un fonds à 7% de rendement annuel et 2% de frais de gestion annuels.
Après 1 an, au lieu de gagner 700 euros (7 % de 10 000 euros), tu gagnes seulement 500 euros. Les 200 euros restants ont été absorbés par les frais.
Sur 30 ans, l'impact de ces frais s'accroît de façon considérable.
Si aucun frais n'était prélevé, ton investissement initial pourrait croître jusqu'à environ 76 123 euros (intérêts composés).
Mais avec des frais de 2 % par an, ton portefeuille vaudrait environ 43 219 euros après 30 ans. Ça représente une différence de plus de 32 000 euros due uniquement aux frais de gestion. (aïe 🫣)
-
🔸 9) Le "timing" du marché est extrêmement difficile, mais les pros tentent toujours de l’optimiser
Ce que les pros savent
C'est vraiment difficile de prédire les hauts et les bas du marché avec précision. Les pros utilisent des modèles ultra-efficaces et des analyses détaillées pour essayer de bien choisir quand entrer ou sortir du marché.
Ce qu’il faut comprendre
Plutôt que d’essayer de "prédire" le marché, mieux vaut investir régulièrement et se positionner sur le long terme : faire du DCA. Les tentatives de timing du marché sont souvent contre-productives pour les particuliers.
Pourquoi ce n’est pas dit
On conseille aux particuliers de ne pas essayer de timer le marché, car ils ont tendance à prendre de mauvaises décisions sous l’influence des émotions.
-
🔸 10) La patience rapporte plus que l’intelligence
Ce que les pros savent
En investissement, avoir de la patience rapporte souvent plus que de chercher l'opportunité parfaite. 🧘🏻♀️ La plupart des grosses fortunes boursières se sont construites en gardant des investissements solides sur des décennies, plutôt qu'en tentant d'acheter & de vendre au meilleur moment.
Ce qu’il faut comprendre
L’idée de "battre le marché" est séduisante, mais la vraie richesse se construit avec du temps et de la discipline. Ceux qui s’enrichissent en bourse sont ceux qui restent investis sur le long terme, pas ceux qui cherchent des raccourcis.
Pourquoi ce n’est pas dit
Les plateformes de trading et les médias financiers ont tendance à encourager une activité constante plutôt que la patience, parce que ça génère plus de transactions... et donc plus de frais pour eux.
-
🔸 11) Les informations publiques sont souvent déjà intégrées dans les prix
Ce que les pros savent
Quand une grande nouvelle, comme des résultats financiers ou une acquisition, est annoncée, beaucoup d'investisseurs particuliers pensent qu'ils peuvent réagir vite et en tirer profit. Mais en réalité, le marché a déjà réagi en quelques millisecondes, bien avant qu'ils n'aient le temps de passer un ordre.
Ce qu’il faut comprendre
Les grandes institutions utilisent des algorithmes ultra-rapides qui ajustent les prix dès qu'une nouvelle est annoncée. Si tu entends une info à la télé, sur les réseaux ou quoi, il est déjà trop tard pour en tirer profit.
Pourquoi ce n’est pas dit
Beaucoup de médias financiers promeuvent l'idée qu'un investisseur peut "réagir" aux nouvelles pour gagner de l'argent. 🫣 Mais en réalité, le marché a souvent déjà intégré ces informations bien avant que la plupart des investisseurs puissent agir.
-
🔸 12) Les petites capitalisations sont plus risquées… mais aussi plus rentables
Ce que les pros savent
Les petites entreprises cotées, les "small caps", sont définies par une capitalisation boursière généralement comprise entre 300 millions et 2 milliards de dollars.
Elles sont souvent plus volatiles & risquées que les grandes entreprises bien établies, mais elles offrent aussi un potentiel de croissance bien plus élevé. Beaucoup de fonds les évitent en raison de leur manque de liquidité, mais pour certains investisseurs avertis, ces entreprises représentent un terrain de jeu très attractif.
Les "mid caps" c'est la version au-dessus. Elles ont une capitalisation boursière qui se situe entre 2 et 10 milliards de dollars.
Bien que moins volatiles que les small caps, les mid caps offrent souvent un bon équilibre entre croissance potentielle et stabilité.
→ Retrouve des exemples d’ETFs ‘Small Caps’ ici.
Ce qu’il faut comprendre
Investir dans les small caps peut être une super stratégie pour battre le marché, mais ça vient forcément avec plus de risques. Ces entreprises sont souvent moins suivies par les analystes, ce qui veut dire qu’il peut y avoir de vraies pépites… mais aussi de sacrés pièges.
Une small cap peut doubler de valeur en quelques mois, comme elle peut s’écrouler à cause d’un souci de financement, d’une gestion bancale ou autre.
Pourquoi ça n’est pas dit
Les grandes institutions financières préfèrent miser sur des entreprises stables et très liquides, parce qu’elles gèrent des montants énormes. Acheter ou vendre des small caps, ça peut faire bouger le marché trop facilement pour elles. Résultat : elles évitent d’en parler dans leurs analyses ou recommandations. Et côté médias financiers, c’est pareil - parler d’Apple ou de Tesla attire bien + l’attention qu’une petite biotech encore inconnue.
-
🔸 13) La stratégie -cachée- du détachement du dividende
Ce que les pros savent
Le jour où une entreprise verse son dividende, son cours baisse automatiquement du montant de ce dividende.
Cette baisse est temporaire et mécanique, sans lien avec la vraie valeur de l’entreprise (la valeur intrinsèque de l’entreprise n’a pas bougé).
Les investisseurs institutionnels en profitent souvent pour acheter à prix réduit.
Ce qu’il faut comprendre
Quand une entreprise détache son dividende, c’est comme si elle retirait du cash de son prix. Si l’action valait 100€ et que le dividende est de 5€, elle ouvrira à 95€ le lendemain. Mais cette baisse est artificielle : l’entreprise reste la même, avec les mêmes fondamentaux. 🤐
Résultat ? Le cours a tendance à remonter dans les jours ou semaines suivantes, surtout si l’entreprise est solide. Acheter juste après le détachement peut donc être une bonne stratégie pour rentrer à moindre coût.
Pourquoi ça n’est pas dit
Les petits investisseurs sont souvent obsédés par le fait de toucher des dividendes, alors qu’en réalité, le marché s’ajuste automatiquement. Les gros fonds, eux, profitent du détachement pour acheter quand les particuliers vendent.
Les courtiers et les médias préfèrent mettre en avant les dividendes, car c’est plus facile à comprendre et à vendre. Mais les pros savent que la vraie opportunité est souvent juste après.
Ma p’tite liste n’est pas terminée, mais… j’en garde pour une autre édition. 👀
J’espère que tout ça t’aurait donné des risques de réfléxion et si jamais tu as des questions, n’hésite pas à m’envoyer un petit message pour qu’on en discute ensemble!
👉🏻 Tu veux faire fructifier ton épargne en toute simplicité sur une application intuitive dès 300 euros ?
Découvre Mon Petit Placement et profite d’une offre exclusive : 80€ offerts à l’ouverture de ton compte avec le code LFSM80 jusqu’au 30 avril 2025** en cliquant ici.
J’espère que cette édition t’a plu, si c’est le cas, lâche un petit 🧡 pour soutenir mon travail.
-
À bientôt dans La Finance Sans Migraine 👛
le passage sur la sur-diversification (le point 3), est trop rarement dit : à force de vouloir trop se couvrir, on finit par diluer ses perfs. C’est comme vouloir protéger toutes les plantes du jardin avec une seule bâche... au final, y’en a aucune qui prend bien le soleil. 🌱
Même pour un retraité de 65 ans, cela donne de l'oxygène de voir qu'une plus jeune prévoit. Bon courage ma cadette !